L’Alsace recuisinée…

Alsace recuisinée

PÂTISSERIE LAURENT KIENY, RIEDISHEIM – Le « Käs’cake », version alsacienne du Cheesecake (au Munster) comme une tartelette de Linz.

 

L’Alsace recuisinée par les Étoiles d’Alsace…

Les Étoiles d’Alsace ont encore frappé ! Avec cette opération, on va encore nous taxer de chauvins mais c’est légitime. En Alsace on mange bien, on mange généreusement et on est farouchement attachés à nos plats et recettes traditionnelles. Gare à celui qui veut y toucher ;-).

Du 1er juin au 30 septembre 2016, 38 chefs et artisans (les fameuses « Étoiles d’Alsace »*) ont décidé de revisiter la gastronomie alsacienne en proposant dans leurs établissements des plats stars, voire des menus complets, sous le thème de L’Alsace recuisinée.

L’Alsace recuisinée késako ? C’est sous l’impulsion du chef Jean-Marc Kieny (La Poste à Riedisheim 68) qu’est né le concept. Parce que la gastronomie c’est se renouveler sans cesse, les chefs ont décidé de mettre au goût du jour les plats régionaux en leur donnant une touche contemporaine et moderne, une présentation singulière, tout en maintenant un lien fort avec l’Alsace. Sans les dénaturer, les chefs proposent une cuisine qui reste profondément ancrée dans son terroir. Et c’est plutôt très réussi !

Si vous êtes de passage dans la région – ou que vous soyez autochtones – c’est une belle occasion découvrir et « visiter » notre belle région sous un nouvel angle gastronomique.

Alsace recuisinée

AU CROCODILE STRASBOURG – Pigeon de la ferme Théo Kieffer, purée de petits pois d’Alsace, jeunes carottes braisées, les cuisses en parmentier et sa tartine d’abats

Pas d’Alsace sans s’enfiler une bonne dizaine de tartes flambée...Vous aurez droit à une version fraîche et déstructurée, mais qui restitue pourtant très bien toutes les saveurs de ce plat emblématique.

Déguster les traditionnels spaetzle, plat chéri des alsaciens ? oui, mais mijotés façon risotto à la truffe d’été et aux amandes torréfiées, fabuleux !

Envie de cuisses de grenouilles? Vous aurez un cornetto de grenouilles cressonette.

Une généreuse part de tarte au fromage blanc ou de Forêt-Noire ? Vous prendrez un Käs’cake, un cheesecake revisité façon tartelette Linzer, avec une garniture non pas au fromage blanc battu mais…au Munster. Ou encore une Forêt-Noire « à boire », présentée dans une petite bonbonne! (D)Étonnant ? Et délicieux surtout !

Alsace recuisinée

L’AUBERGE SAINT LAURENT, SIERENTZ – Spaetzles de Grand-Mère recuisinés comme un risotto à la truffe d’été et amandes torréfiées

Mes coups de cœur ? Les spaetzle cuisinés comme un risotto par l’Auberge Saint Laurent à Sierentz (68), mon plat doudou version étoilée, une merveille ! Réactions à chaud : l’impression de déguster l’escalope à la crème aux spaetzle du dimanche !

Le Käs’cake et le gâteau de voyage « Elsass Power » de la Pâtisserie Laurent Kieny à Riedisheim (68), un vrai concentré d’Alsace ! Dommage qu’elle soit si éloignée de Strasbourg, j’en ferais bien mon nouveau QG.

La tarte flambée revisitée de Jean-Marc Kieny, La Poste à Riedisheim (again !). J’ai trouvé ça tellement bon et original, que je me lancerais bien dans une petite contrefaçon maison…

Et le pigeon de la ferme préparé par Le Crocodile à Strasbourg (67).

Alsace recuisinée

AU VIEUX COUVENT, RHINAU – Fine rouelle d’anguille au melfor, valse d’herbes et fleurs du jardin

Alsace recuisinée

AU VIEUX COUVENT, RHINAU – Arbre à bretzels au mélilot

 Où trouver toutes ces interprétations et déclinaisons** ? Tous les renseignements sont ici : www.etoiles-alsace.com

Liste des restaurants participants à l’opération et plats / menus proposés :
www.etoiles-alsace.com/restaurant-gastronomique-alsace-alsace-recuisinee.html

Alsace recuisinée

A L’AGNEAU, PFAFFENHOFFEN – Cornetto Grenouilles Cressonnette

Alsace recuisinée*Les Etoiles d’Alsace, c’est quoi ? Une association fondée au 1990 qui regroupe 38 membres, chefs de cuisine, artisans boulangers, pâtissiers, fromagers, bouchers-charcutiers qui ont choisi de rassembler leurs compétences pour promouvoir les entreprises et leur région. Des passionnés qui n’ont qu’une envie : faire rayonner notre belle gastronomie au-delà des frontières et mettre en avant un savoir-faire.

**plats susceptibles d’évoluer au cours de l’opération.

Alsace recuisinée

LA POSTE, RIEDISHEIM – une version Alsacienne du tiramisu

Alsace recuisinée

LA POSTE, RIEDISHEIM – Une certaine idée de la tarte flambée « Hansi »

L'Alsace recuisinée

PÂTISSERIE LAURENT KIENY, RIEDISHEIM – Le gâteau de voyage « Elsass Power »

L'Alsace recuisinée

PÂTISSERIE REBERT, WISSEMBOURG – Savarin Victoria

L'Alsace recuisinée

PAINS WESTERMANN STRASBOURG – Rahmkuchen

L'Alsace recuisinée

LE KASBUR, MONSWILLER – Picon bière revisité, marmelade d’orange, glace et spoom à la Meteor

L'Alsace recuisinée

L’AUBERGE DE L’ILL, ILLHAEUSERN – Le foie d’oie aux algues et au saké

L'Alsace recuisinée

LE CERF MARLENHEIM – Presskopf de tête de veau, sauce gribiche

L'Alsace recuisinée

L’ATELIER DU PEINTRE, COLMAR – Macaron virtuel bretzel et mettwurst

L'Alsace recuisinée

LE MAXIMILIEN, ZELLENBERG – Pressé de matelote aux jeunes poireaux, pâtes Grand-Mère et crumble d’oignons
Boucherie-charcuterie RIEDINGER-BALZER VENDENHEIM – Tête de veau panée

 

 

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Café Runtz, bistrot, café, apéro

 

Café Runtz

Café Runtz 

Franchir le seuil du Café Runtz et tomber nez à nez avec une enfilade de tartes toutes les plus appétissantes les unes que les autres, pour une accro au sucre, ça s’appelle un traquenard. Au Café Runtz, tous les moyens sont bons pour essayer de vous retenir.

Plus qu’un moment à table, on peut y passer sa journée : démarrer par un petit noir
• Se rassasier le midi avec une formule déjeuner (qui change chaque semaine)
• S’arrêter pour une pause sucrée à l’heure du thé, et s’enfiler de délicieuses et très généreuses parts de tarte faites maison
(coup de cœur pour celles au chocolat et chocolat-caramel, de petites vraies bombes)
• Partager planchettes (charcuterie, fromage ou mixte), foie gras, frites et knacks autour d’une pression en afterwork
• S’incruster en soirée quand la carte prend le pas : burgers (charolais ou poulet), faux-filet, tartare de bœuf, saumon d’Ecosse bio…) Et le vendredi, c’est fish and chips !

Parce qu’en plus y a du wi-fi, en journée on peut même (faire semblant de) bosser ou bloguer un peu 😉

Café Runtz

La déco mixe baroque – lustre à pampilles, moulures – et modernité – mur de brique anthracite, banquettes et chaises jaune moutarde et poutres et plafond apparents – pour une atmosphère cosy.

Dans l’assiette, le Runtz travaille les produits du marché, privilégie les produits locaux et de saison. Des plats savoureux, simples, mais elle a tout bon la simplicité quand elle est bien exécutée.

Le café Runtz c’est aussi une histoire de famille : Joséphine, la fille, officie en salle – où plane l’esprit de la grand-mère Joséphine – accompagnée par son complice de père en cuisine. Une équipe sympa et souriante qui a pas mal bourlingué avant de revenir sur Strasbourg.

Du café au déjeuner en passant par l’apéruntz en terrasse, on file au Runtz !

Café Runtz

Café Runtz

NDLR : Le Café Runtz a depuis définitivement fermé ses portes. Il a été remplacé par le Boca Boca

Scène de cream
Café Runtz : bistrot, café, apéro
8 Rue d’Austerlitz, 67000 Strasbourg

Tel: 03 88 35 21 18
Horaires :  lundi 10:30-15h / mardi > samedi : 10:30-23:00 en continu

Formules :
Plat du jour 9,90€ / entrée-plat ou plat-dessert 14€ / Entrée-plat-dessert 18€
Planchettes (mixte, charcuterie ou fromages) 15-16€

Café Runtz

Velouté de carottes bio au carvi

Café Runtz

Burger Runtz (viande charolaise, cheddar, comté, tomates, oignons, coleslaw et frites)

Café Runtz

Saumon d’Ecosse bio, tagliatelles sauce Runtz

Café Runtz

Trio chocolaté : tarte choco-caramel, tarte au chocolat, gâteau chocolat-amandes

Café Runtz

Café Runtz

Café Runtz

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Touche pas à ma flamm’…(ou alors juste un peu)

Flamme and Co Olivier Nasti

Une nature, une ! (crédit photo : Heure du Cream)

 

Journée de la Flamme and co !

Flammekueche, flamenküche, flamm’es…Il y a les puristes, les rigides, ceux pour qui une bonne tarte flambée ne peut se déguster ailleurs que dans un petit patelin, à la bonne franquette (et surtout pas à Strosborri – la ville c’est pour les touristes – dans un cadre moderne), les indécrottables qui ne jurent que par le trio normale-gratinée-forestière qui se mange avec les doigts (bon ok, ça c’est vrai, c’est sacré). Ceux qui accuseraient bien M. Nasti de détournement bobo de flammkueche.

Puis y a les autres, un peu plus aventureux de la papille, qui de temps en temps aiment sortir des sentiers battus patelins  pour monter en ville et qui se laissent séduire par de nouvelles saveurs et des associations un peu gue-dins.

Depuis le 8 mars, Le Flamme and Co propose une formule inédite « 1 personnalité, 1 flammée ». Le concept ? De petites tartes flambées gastronomiques qui réinterprètent les plats emblématiques du restaurant « Le Crocodile », un clin d’œil au restaurateur Cédric Moulot, qui lui a fait retrouver ses galons. On a eu ouï-dire que la formule pourrait devenir trimestrielle avec d’autres personnalités sous les feux de la rampe. Affaire à suivre.

Flamme and Co Olivier Nasti

Tarte flambée aux cuisses de grenouilles à la persillade (crédit photo : Heure du Cream)

Flamme and Co Olivier Nasti

Tarte flambée au pied de porc et truffe noire (crédit photo : Heure du Cream)

Flamme and Co Olivier Nasti

Tarte flambée au foie gras avec des morceaux de Berawacka et pomme Grany (crédit photo : Heure du Cream)

Au menu, 5 tartes flambées en format individuel. Une tarte flambée nature suivie par :
– une tarte flambée parsemée de foie gras avec des morceaux de Berawacka et pomme Grany,
– une tarte flambée aux cuisses de grenouilles à la persillade (ma préférée je crois),
– une tarte flambée au pied de porc et truffe noire (une découverte que ce pied de porc !),
– une tarte flambée sucrée, façon Forêt Noire.

Le petit format vous effraie ? Vous avez peur d’avoir encore faim ? Franchement, quand vous aurez englouti successivement ces tartes gastronomiques, vous serez repus. Sinon, pour les voraces, il existe toujours la formule à volonté.

Formule « 1 personnalité, 1 flammée », à déguster jusqu’à la fin du mois de mars. Prix : 27€ (5 tartes). On s’excite pas les alsaciens, tout va bien, elles sont divines !

Flamme and Co Olivier Nasti

Tarte flambée sucrée, façon Forêt Noire (crédit photo : Heure du Cream)

NDLR : pour ceux qui ne connaissent pas, le Flamme and Co c’est quoi ? Un restaurant de flammkueche (tartes flambées) qui revisite ce grand classique de la cuisine alsacienne et qui détourne les codes du genre. Le Flamme & Co, dont l’instigateur est Olivier Nasti (Meilleur Ouvrier de France), propose une trentaine de de flammkueche originales, garnies d’ingrédients plutôt inhabituels (cabillaud, saumon, Saint jacques ou encore entrecôte, pluma ibérique, chèvre, herbes fraîches…). Vous pouvez découvrir l’univers d’Olivier Nasti, à travers une série de livres sur la cuisine.

Scène de cream :
Flamme & Co strasbourg
53 | 55 Grand rue
67000 Strasbourg
Tél. : +33 3 90 40 19 45
Mail : strasbourg@flammeandco.fr

Olivier Nasti

Olivier Nasti

Olivier Nasti, Cédric Moulot & co.

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Le Clos des Délices, week-end détente…

Le week-end dernier j’ai pu profiter d’un petit séjour au Clos des Délices à Ottrott, situé à une trentaine de minutes de Strasbourg et juste à coté d’Obernai. Étant du coin, je connaissais déjà de nom et de réputation, sans jamais avoir franchi le seuil de l’établissement.

Coté chambre

L’hôtel 4 étoiles dispose de 21 chambres, toutes avec un design différent, une superficie allant de 16 à 30m2, en passant par l’appartement suite de luxe de 63 m2. Spacieuses et très confortables, nous avons séjourné dans la suite junior de 30m2. Le personnel est quant à lui souriant, toujours aimable et aux petits soins !

Le Clos des Délices

Suite Junior, 30m2

 

Le Clos des Délices

Suite Junior, 30m2

 

Le Clos des Délices

Suite Junior, 30m2

 

Le Clos des Délices

Suite Junior, 30m2

 

Le Clos des Délices

Coté table

J’ai adoré la table du restaurant gastronomique Le Châtelain. Le chef, Mathieu Klein, concocte des plats élégants, créatifs, raffinés, plein de saveurs et de textures. Une cuisine du marché réalisée avec des produits de saison : la betterave, le choux, le potimarron, la pomme de terre, les agrumes, l’ananas…Moi qui n’aime pas le chou, j’ai apprécié l’entrée : un œuf parfait avec différentes textures de chou (brocoli, chou-fleur) et dont les saveurs étaient assez douces. Pour le plat, j’ai dû en revanche troquer la betterave contre la pomme de terre ;-). La betterave, c’est très « segmentant », on aime ou pas. La cuisson de la viande était parfaite, rosée et fondante, suivie d’une farandole de fromages…Le tout arrosé de « Rouge d’Ottrott », le breuvage de la région. Le dessert, un classique revisité, avec une touche d’exotisme.

Que vous résidiez ou non à l’hôtel, vous pouvez vous offrir une belle expérience culinaire, à la carte (qui change tous les 3-4 mois) ou en Menu Découverte à 49€ (3 plats) ou 59€ (4 plats) par personne. Le chef a également imaginé un menu spécial Saint-Valentin : à découvrir le samedi 13 février au soir à 79€ par personne, le dimanche 14 février midi et soir à 69€ par personne.

Menu St Valentin, 4 plats

Amuse-bouche
****
Foie gras de canard aux épices
Le Coeur à la passion, brioche toastée
Râpée de poivre long, huile vanillée
****
Pavé de cabillaud cuit à 45°C
Crémeux Chaux Fleur, Graffiti de brocoli
****
Quasi de veau à basse température
Cappucino aux saveurs des sous-bois
Jus corsé et pousses de moutarde
****
Délices des amoureux à la rose

Le Clos des Délices

Amuse bouche au foie gras

 

Le Clos des Délices

Oeuf en cuisson parfaite, textures de choux, beurre noisette et croûtons Espelette

Le Clos des Délices

Le Clos des Délices

Quasi de veau basse température, caillette au lard fumé, texture de Charlotte

Le Clos des Délices

Quasi de veau basse température, betteraves en déclinaison, jus corsé

Le Clos des Délices

Le Clos des Délices

Ile flottante moderne, légèreté exotique

Mais je crois que ce que je préfère dans les hôtels, c’est le breakfast ! Ce moment où vous avez juste à vous installer, où le seul effort demandé est celui de se diriger vers le buffet pour composer votre assiette. Une fois, deux fois. Choisir ce qui vous fait plaisir. Tout ce dont vous rêveriez chaque matin : l’embarras du choix. Tout ce dont vous avez envie mais que vous n’avez ni le temps, ni l’envie de préparer en semaine : un petit-déjeuner de champion, qui vous fera oublier qu’il est déjà presque l’heure de déjeuner. Le tout dans un cadre cosy et servi par un personnel charmant et souriant. Bonheur. Pains et viennoiseries fraîches, boissons chaudes, céréales, produits laitiers, jus de fruits frais pressés, fruits frais, l’œuf et ses déclinaisons, charcuteries…

Le Clos des Délices

Breakfast !

Le Clos des Délices

Breakfast

Le Clos des Délices

Breakfast

 

Coté nature

Pour se remettre des émotions culinaires, vous avez le choix entre détente et relaxation ou activité sportive douce : un petit plouf dans le bassin chauffé à 30C° ou une ballade dans le parc de 6 hectares qui entoure le Clos des Délices. Les courageux pourront monter jusqu’aux châteaux d’Ottrott (parcours fléché, comptez 45 min. de marche), les plus téméraires jusqu’au Mont Saint Odile (1 heure 45) et profiter du panorama. Pour les plaisirs de la montagne, vous pouvez aller jusqu’au Champ du Feu ou au Hohwald situés à env. 25 min. Sous un manteau blanc, la région est encore plus belle ! Nous nous sommes contentées d’une petite ballade digestive d’une vingtaine de minute sur les sentiers du Parc. Le temps était un peu couvert et venteux ce jour-là mais nous avons tout de même pu apprécier la vue.

Arrivées en début de soirée, nous n’avons pas pu profiter de l’espace spa, déjà fermé.
Bon, j’avoue que j’avais oublié mon maillot – oui, ça complique un peu – ce que j’ai d’ailleurs regretté. Le Clos des Délices dispose d’une piscine couverte de 7,7 m avec jet stream , nage à contre-courant, massages sous l’eau et sauna ainsi qu’un espace et une équipe dédiés aux soins du corps. Bonne nouvelle, l’espace wellness sera rénové et agrandi d’ici 2017 !

Le Clos des Délices

Espace wellness

Le Clos des Délices

Le Clos des Délices

Le Clos des Délices

Alors ? Par l’odeur alléché(s) ? Tenté(s) par un week-end cocooning au Clos des Délices ? Ça fonctionne avec toutes les combinaisons : avec son amoureux(se) (vous me voyez venir avec mes gros sabots ? ;-)), pour un week-end mère-fille ou avec sa #BFF (meilleure amie, pour les néophytes).

Pour la Saint-Valentin (12, 13 & 14 février), le Clos des Délices vous propose un kit clé en main, comprenant :

– Goûter d’accueil vous attend de 15h à 17h30, offert en guise de bienvenue,
– Une ou Deux Nuitées en chambre Double **** selon le type de chambre choisi à la réservation,
– Les dîners gastronomiques 4 plats spécial St Valentin (hors boissons) (voir le menu plus haut dans l’article),
– Les Petits déjeuners Buffet Gourmand avec Crémant Schaetzel
– L’accès illimité à l’espace détente, piscine couverte, jet-stream, nage à contre courant, massage sous l’eau, sauna

Et tout le mois de février, un séjour Cupidon à partir de 133€ par personne :

– un goûter d’accueil vous attend de 15h à 17h30, offert en guise de bienvenue,
– Une Nuitée en chambre Double **** selon le type de chambre choisi à la réservation,
– 1 dîner gastronomique 4 plats selon la saison (hors boissons),
– 1/2 bouteille de champagne offerte dans votre chambre,
– Les petits déjeuners Buffet Gourmand avec crémant (le lendemain),
– L’accès à l’espace Détente, piscine couverte, jet-stream, nage à contre courant, massage sous l’eau, sauna (valable tout le mois de février du dimanche au jeudi sauf le 12, 13 et 14 février).

Il est encore temps d’en souffler un mot à votre chéri(e)…Réservations par ici !

Scène de cream:
Le Clos des Délices
17 route de Klingenthal
67530 Ottrott
03 88 95 81 00
Site web : https://www.leclosdesdelices.com/

Le Clos des Délices

Le Clos des Délices

Le Clos des Délices

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Restaurant Week avec la Fourchette

Lancement de la formule au Bistrot coco

Restaurant Week avec la FourchetteAprès l’opération « Suivez le Guide », la Fourchette remet le couvert avec la Restaurant Week, qui dure en réalité 2 semaines, du 7 au 22 novembre. L’opération a lieu dans plusieurs grandes villes de France dont Strasbourg. Pas moins 50 chefs composeront pour l’occasion des menus inédits. La formule plat-entrée-dessert sera proposée aux prix de 25€ ou de 50€ dans les établissements partenaires.

Restaurant Week avec la FourchetteDe belles adresses, des connues, des incontournables, et même quelques étoilés. Nouveauté par rapport à la semaine « Suivez le guide » la liste s’est étoffée de nouvelles adresses. Des petits nouveaux dont on parle beaucoup à Strasbourg comme par exemple le Bistrot Coco (un des restaurants les plus récents et très bien noté sur la Fourchette), qui participe à la Restaurant Week. Le Bistrot Coco proposera sa formule à 50€.

Restaurant Week avec la Fourchette

La Boutonnière 2014

 

La Restaurant Week avec la Fourchette

Des menus élaborés avec de beaux produits de saison. Et pour le lancement de l’opération, nous avons eu l’occasion avec quelques complices de rencontrer le chef Nicolas Di Pol Moro, ainsi que quelques-uns de ses fournisseurs privilégiés : Mickaël Doriath, des Foies Gras Doriath, qui nous expliqué tous le secrets de fabrication de ses produits élaborés à base de canard de Barbarie (foie gras, magret, gésiers, cuisses, cœur. Mais aussi une dégustation (assez matinale) des vins du caviste Benoit Hecker d’Oenosphère. Le chef nous a contacté un menu très carné (ndlr : youpiii) à base de canard (le menu de la Restaurant Week sera néanmoins susceptible de varier en fonction des arrivages du marché).

Restaurant Week avec la Fourchette

Magret de canard laqué à l’orange, purée de carotte et petits légumes

Vous pouvez téléchargez ici les menus proposés dans les restaurants participants à l’opération.

Menus 25€
Menus 50€

50 restaurants et 10 grandes tables parrainent cette semaine spéciale dont :

Le Relais de la Poste à la Wantzenau*
Le Violon d’Ingres à Strasbourg
Le Vieux Couvent à Rhinau*
Le Cygne à Gundershoffen**
L’Abbaye de a Pommeraie à Sélestat

Pour réserver, RV sur la Fourchette !

Scènes de cream

Bistrot Coco
8 Rue de l’Écurie, 67000 Strasbourg Tél.: 03 90 20 39 39
www.facebook.com/bistrotcocostrasbourg

Oenosphère
33 rue de Zurich 67000 Strasbourg Tél.: 03 88 36 10 87
www.oenosphere.com

Foie gras Doriath
30 A, rue de Molsheim 67120 Soultz-les-Bains Tél.: 03 88 47 98 98
www.lucien-doriath.fr

La Fourchette
www.lafourchette.com

Restaurant Week avec la Fourchette

Foie gras poêlé, tuiles de meringue et pousses de petits pois

 

Restaurant Week avec la Fourchette

Foie gras de canard, chutney de mangue et charbon

 

Restaurant Week avec la Fourchette

Magret de canard laqué à l’orange, purée de carotte et petits légumes

 

Restaurant Week avec la Fourchette

Magret de canard aux dragées

 

Restaurant Week avec la Fourchette

Assiette tout chocolat

 

Restaurant Week avec la Fourchette

Morillon Blanc 2013 Jeff Carrel

 

La Fourchette

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Suivez le guide avec La Fourchette

La FourchetteQue celui qui n’a jamais réservé un restaurant avec la Fourchette se dénonce !
La Fourchette, on y va, c’est vrai, souvent pour jeter un œil aux restaurateurs qui pratiquent des promotions. Quand on a envie de tester un restaurant qu’on ne connait pas encore, avouons-le, cela permet de le tester en prenant un risque modéré.

Hormis les promotions, la Fourchette aussi c’est un moteur de recherche et un outil classique de réservation en ligne. Il permet aux restaurateurs d’avoir une vision juste des réservations et de fidéliser la clientèle.

Cette semaine sur la Fourchette, c’est une jolie opération qui démarre. A l’occasion de la sortie du Guide des « Meilleurs Restaurants de Strasbourg 2015 », La Fourchette organise parallèlement l’opération “Suivez le guide”, du 22 juin au 5 juillet.

Une opération qui permet de découvrir et tester une sélection des meilleures tables figurant dans le guide : pendant 2 semaines, environ 25 restaurants de Strasbourg et des alentours proposeront des menus créés spécialement pour l’occasion, à 25 ou 50 euros.

Pour découvrir (et réserver) les restaurants qui participent à l’opération c’est par ici : www.lafourchette.com

la fourchette

Restaurant la Carambole à Schiltigheim (67), qui figure dans le Guide des Meilleurs Restaurants de Strasbourg. (hors opération Suivez le Guide)

Parmi ces tables (liste non exhaustive), par exemple le Beyrouth (Libanais), le Jardin de Pourtalès, Le Piano 2, Le Black Angus, Le Bouchon Brionnais, Au Bon Vivant ou encore le Matsumotoya (que je vous conseille vivement, un nouveau japonais vraiment très bon, avec un excellent rapport qualité/prix).

Que vous ayez envie de spécialités alsaciennes ou plus exotiques, c’est en tout cas une excellente occasion de découvrir de belles tables.

Pour en revenir au guide des Meilleurs Restaurants de Strasbourg, il s’agit d’une sélection des meilleurs restaurants les mieux notés par les utilisateurs de la plateforme La Fourchette. 150 restaurants au total. Une guide 100% communautaire donc, testés et approuvés par les utilisateurs de la Fourchette. Pour vous mettre l’eau à la bouche, le Restaurant la Carambole à Schiltigheim, un des restaurant présent dans le guide. Une belle découverte culinaire !

la fourchette

Restaurant la Carambole à Schiltigheim (67), qui figure dans le Guide des Meilleurs Restaurants de Strasbourg.

Le guide est disponible dans les restaurants présents dans ce guide. Que vous soyez Strasbourgeois ou non, j’ai un petit stock de guides sous la main (6 exactement). Premier arrivé, premier servi ;- ) Si vous souhaitez un exemplaire du guide, laissez-moi un petit commentaire et je vous le ferai parvenir avec plaisir.

Restaurant la Carambole à Schiltigheim

Restaurant la Carambole à Schiltigheim (67)

www.lafourchette.com La Fourchette

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Restaurant La Rivière Strasbourg, coup de gueule !

Et au milieu coule La Rivière…

Une rivière qui ce week-end, a fait couler beaucoup d’encre. Et avec elle, un torrent de condescendance et de remarques déplacées. Le Restaurant la Rivière à Strasbourg, un endroit qu’il me tardait pourtant de découvrir. J’ai hésité avant de publier cet article, mais encouragée dans ce sens, j’ai fini par me dire qu’au même titre qu’un avis positif, l’expérience valait la peine d’être partagée.

Restaurant La Rivière Strasbourg

La Rivière, 3 rue des Dentelles Strasbourg

Le repas démarre normalement par des amuse-bouches (savorys) ou par une entrée, plats sur lesquels nous avons fait l’impasse. Nous nous sommes restreints à un plat principal et un dessert pour moi, dégusté sous le poids de la culpabilité.

Nous souhaitions chacune prendre des raviolis vapeur, pensant naïvement que ces derniers étaient considérés comme des plats à part entière. J’ai eu la maladresse de demander si je pouvais en prendre 2 fois (ou 2 sortes). Grossière erreur ! J’ai amèrement regretté cette question. Les yeux levés vers le ciel « Ceci ne se fait pas ici, vous êtes dans un gastro ! ». Et si les raviolis vapeur sont à tomber, pourquoi ne pourrais-je pas en reprendre deux fois? Après tout, c’est mon choix, je suis cliente et je suis là pour déguster ce qui me fait plaisir, non ? Et selon mon appétit du moment. Mais cela ne se fait pas ici.

Pour la boisson, nous avons opté pour de l’eau pétillante. Là encore, exaspération non dissimulée du maitre des lieux lors de la prise de commande. Il y a visiblement ici un panier moyen à dépenser et des us et coutumes.

Quand restaurant gastronomique…

A trois reprises, on nous a assenées d’un « vous êtes dans un gastronomique ! » « Si tout le monde faisait comme vous, avec le petit nombre de tables ici, on mettrait la clé sous la porte » « Vous êtes ici pour découvrir des mets, toute la palette de saveurs…» « Ça ne sert à rien de venir si c’est juste pour prendre un plat, je vous dis ça, ce n’est pas pour être méchant » des propos censés nous rassurer sans doute, suivis d’un « Vous auriez dû vous renseigner avant de venir ! », un comble.

Mon choix s’était clairement porté sur ce restaurant à la lecture des articles de Julien Binz, de Gilles Pudlowski, et de Beau à la Louche. Je n’ai pas été suffisamment avisée, je m’en excuse. Mais nous savons bien que le traitement réservés à ces deux messieurs, connus et reconnus, n’est pas le même que celui réservé au client lambda. Articles qui par ailleurs, ne mentionnent nullement le terme de « restaurant gastronomique » ou le fait que le client doit prendre « de tout ».

Je m’interroge donc : situé en plein cœur de la Petite France (à deux pas de la Pl. Benjamin Six), les nombreux touristes qui décident de franchir la porte à la seule lecture de la carte ont-ils eux, bien pris le temps de se renseigner ? Ont-ils droit aux mêmes égards que la clientèle d’habitués ? Ou sont-ils poliment orientés vers des établissements plus calibrés pour touristes ?

Les plats arrivent et se dégustent dans un ordre bien précis, rituel que l’on explique aux néophytes en long, en large et en travers. « Pour exalter les saveurs ». Puis on déstructure, on reconstitue le plat à sa guise nous explique-t-on.

Nous passerons sur l’attente…Arrivées entre 21:30 / 21:45, ignorées pendant un laps de temps, nous avons fini par diner…à 23h. (Il y a ici deux services, l’un à 19:30, l’autre à 21:30 m’a-t-on précisé lors de la réservation).

…rime avec catastrophique

Certes les mets sont absolument délicieux, rien à redire, c’est élaboré, parfumé « une explosion de saveurs » comme j’ai pu lire çà et là. Mais coté accueil, la démonstration a été des plus déplorables, faisant preuve d’un manque d’élégance et d’humilité. La Rivière restera une expérience unique dans tous les sens du terme.

Un restaurateur n’est-il pas censé « recruter » et donner envie à de nouveaux clients de revenir ? Le client n’est-il pas censé repartir satisfait, afin de pouvoir à son tour recommander l’endroit autour de lui ? Se préoccupe-t-on ici uniquement d’une clientèle de fidèles qui a davantage « les moyens », donc digne d’intérêt ? Une clientèle d’habitués à qui on sert la main, auprès de laquelle on s’attarde et que l’on bichonne. Habituées, nous ne le sommes pas, et encore moins à ce type de traitement.

La déco est sympathique, colorée, un brin étrange …Un joyeux mélange, des piles de livres entassés ici et là, des objets arty sur fond de musique pseudo-branchée. Mais nous sommes loin de l’esprit café littéraire (pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, rappelons que nous sommes dans un gastro !). Une fausse décontraction, où la place de chaque livre est probablement millimétrée. Un désordre organisé qui n’est sans doute que le reflet de l’autorité du maitre des lieux, de son approche toute personnelle de la dégustation et de sa volonté de l’imposer.

L’idée de nous lever et de partir a fait plus que nous effleurer. La prochaine fois nous irons dîner à la Corde à Linge. Ou peut-être nous réservera-t-on un accueil plus chaleureux chez l’étoilé d’à côté – la Cambuse pour ne pas la nommer – qui pratique les mêmes tarifs (oui je connais le lien de parenté de la propriétaire avec celui de la Rivière).

Prix de la soirée 100€ à 3 : trois plats principaux accompagnés d’eau pétillante et un dessert (10€ tout de même le moelleux au chocolat, avec un pointe de confiture de kumquats, certes). Si vous respectez à la lettre le protocole de dégustation, je vous laisse faire le calcul sachant que : amuse-bouche env. 6€, entrées env. 14€, plats env. 25€, desserts 10€. Sans compter les vins.  Pour être dans les petits papiers et se faire serrer la main en partant, comptez 70 euros par personne.

Inutile de préciser que je n’ai pas osé dégainer mon smartphone et encore moins mon reflex par peur des représailles. Pas de photos donc, pour illustrer ces mets si délicats. Nous n’avons pas osé broncher sur le moment, sans doute abasourdies par tant de condescendance, mais en tant que cliente, j’ai le droit de donner mon avis. Et d’avertir. Cette rivière-là continuera de couler, mais que cet article au moins permette au client de ne pas nager en eaux troubles.

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Déjeuner chez Jamie’s Italian, London

Jamie's ItalianDifficile d’être d’objectif quand on sait qu’une expérience culinaire restera au stade de l’expérience. Savoir garder la tête froide face à l’engouement de masse, aux phénomènes de mode ou aux concepts. Mémorable, l’expérience pourra l’être. Si la première impression donne le ton et peut être la bonne (et qu’on aimerait rester sur cette dernière) on peut aussi tomber sur la mauvaise pioche. Difficile de savoir si et quand la qualité est constante.

Une salle bien remplie c’est déjà bon signe. Bon, connaissant la notoriété du bonhomme, pas sûre que ce soit le critère le plus objectif. L’endroit est  convivial, tables en bois et métal, chaises en acier galvanisé rouge, carreaux façon métro parisien. Frais et moderne.

Jamie's ItalianNous avions prévu de réserver quelques heures auparavant, par peur de nous retrouver devant salle comble. Au final, pas besoin de résa, il y a du turnover, petite file à l’entrée mais quelques places libres. Pas d’attente, on nous guide rapidement vers une table (deuxième salle au sous-sol).

Côté prix, c’est plutôt correct, encore une fois, connaissant la notoriété du lascar…mais Jamie n’est pas un voleur.

Starters : entre 4 £ et 7 £. Vous avez le choix entre bruschetta, planchettes ou autres entrées. On oscille entre 11,50 £ et 13,50 £ (un seul plat à 18,50 £) pour les plats (mains). Les accompagnements (sides) sont en plus, comptez 3,50 £ env. Steaks entre 17 £ et 25,50 £. Pâtes (fraîches) entre 10,25 £ et 13,50 £. Desserts env. 5 £. Les plats arrivent rapidement, le personnel lui aussi est sympathique.

Jamie's ItalianBarbaque pour la Creaminelle : poulet grillé à l’ail et au romarin, servi avec des frites de polenta au parmesan et une sauce tomate, olive, chili et câpres. Quant à mes complices, l’une a opté pour des Spaghetti aux fruits de mer, l’autre pour du saumon Shetland accompagné de légumes sautés au balsamique et petite salade. C’est frais, c’est bon et plutôt généreux.

Jamie's ItalianJamie's ItalianJamie's ItalianUne tête de bon pote next-door et une cuisine qui lui ressemble, joyeuse et conviviale. C’est finalement tout ce qu’on lui demande. Pas de truanderie coté rapport qualité-prix, Jamie est plutôt réglo. L’assiette est bien remplie, on sort rassasié. L’accro du sucre n’a même pas réussi à s’enfiler un dessert  (au pays du Carrot et du Sponge cake, tu te réserves pour un des nombreux et charmants cafés dont seul Londres a le secret)
Un bémol : le bruit. Beaucoup de monde means brouhaha.

Jamie's ItalianSi Jamie n’est pas un voleur, il n’en reste pas moins une sacrée cash-machine : chaînes de restaurants, cafés, cours, ustensile de cuisine, produits d’épicerie (condiments, sauces, pâtes), traiteur, édition, émissions TV, je ne lui connais décidément pas d’équivalent français. On entend retentir les sirènes du marketing et elles ne sont pas bien loin. Petit corner-shop à l’entrée, histoire de repartir avec un livre ou avec de sympathiques serviettes – so cute – brandées Jamie, j’avoue j’ai longuement hésité (12 £ les 4). Tout ça sent le business à plein nez. On trouve aussi un espace bar au centre.

Jamie's ItalianLe repas achevé, on entend déjà hurler les sirènes du côté de Notting Hill…Direction le magasin Recipease, temple du shopping pour foodista. Au 1er étage, le café. Au rez-de-chaussée, le shop. Les cours de cuisine c’est ici et ils ont lieu en plein milieu. Sympathique mais pas très intimiste.  Un groupe de mâles s’esclaffe et s’éclate derrière les fourneaux…Rigolo. Mais non, ce n’est pas Jamie qui assure le cours. Shit happens.
Et autour, tout invite à la consommation : livres et magasines, ustensiles de cuisine, food to go (rayon traiteur), confitures… Avec sa trombine imprimée partout, difficile de résister.  Mais pas de coup fourré, en même temps on connait l’ampleur du phénomène, on pénètre ici en son âme et conscience.

Jamie's ItalianJamie's ItalianJamie's ItalianJamie's ItalianJamie’s Italian
www.jamieoliver.com/italian/
Covent Garden
11 Upper St Martin’s Lane
WC2H 9FB London
Tel. : 020 3326 6390

Recipease (fermé)
92-94 Notting Hill Gate
W11 3QB

Jamie's Italian

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Tous au Restaurant du 16 au 22 septembre !

De grandes tables auprès desquelles vous hésitez à passer réservation, faute de budget, ça vous arrive ? Moi oui. Ce fut le cas pour le Bistro des Saveurs à Obernai, qui faisait partie de ces restaurants que je rêvais de découvrir depuis longtemps, de l’entrée au dessert s.v.p ! Mission accomplie l’an dernier grâce à l’opération Tous au Restaurant.

A votre tour, vous n’aurez plus aucune excuse ni hésitation: du 16 au 22 septembre 2012 , « Votre invité est notre invité » telle est la promesse de l’opération Tous au Restaurant. Une opération qui offre la possibilité, une semaine durant, de découvrir de très belles tables – étoilées ou non –  ou d’y revenir plus souvent. Bref, en d’autres termes, les grands chefs se mobilisent pour rendre les restaurants accessibles au grand public et permettre de diviser la « douloureuse » par deux ! (un menu acheté = un menu offert).

tous au restaurant

Tous au Restaurant est une opération nationale qui a vu le jour il y a quatre ans grâce à Alain Ducasse. Fervent défenseur de la cuisine authentique, l’idée était aussi de redorer un peu le blason de la profession. En Alsace, quelques grands noms sont de la partie : Philippe Bohrer (La Table de Louise), Olivier Nasti (Le Chambard, Flamme and Co), Thierry Schwartz (1741, le Bistro des Saveurs).

Attention les réservations sont prises d’assaut, soyez à l’affût et ayez la souris alerte ! Ouverture des réservations à partir du 9 septembre dès 10h.

Et puis de temps en temps une Creaminelle, ça sort de l’ombre pour accepter des invitations d’exception. Attention toutefois à ne pas se faire tirer le portrait par une fausse complice qui tente par tous les moyens de mettre en péril votre anonymat…C’est donc avec un enthousiasme non dissimulé que j’ai accepté l’invitation à rejoindre la tournée d’inauguration de l’opération, flanquée de mes codétenues Elo, Aurélie, Annick, Marine.

tous au restaurant

En Alsace, le 24 juin dernier, le chef Thierry Schwartz a ouvert les portes de son verger du Bari à Molsheim pour un pique-nique gastronomique en présence de nombreux producteurs de la région parmi lesquels : les munsters de la Ferme de Truttenhausen; Charcuterie Fritsch Diebolsheim ; les fromages de la Ferme Sonnenberg ; Safran du Château …et les autres : les chocolats ValrhonaFoies gras Rougié Sarlat ; cafés Malongo. Et tous leurs produits d’exception, qui laissent présager de bons moments au restaurant !

tous au restauranttous au restauranttous au restaurant

 tous au restaurant

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bistro des saveursÉdition 2012 : Comme l’équipe du Bistro n’était pas franchement emballée à la vue d’un gros appareil photo et par la perspective de voir atterrir sur le net des photos (de bonne ou de piètre qualité), je les ai conservées bien au chaud pendant un an. Cette année je prends le risque et je ne résiste pas à l’envie de vous mettre l’eau à la bouche et vous proposer un avant-goût.

Pour toutes celles et ceux dont le Bistro figurerait sur la wish-list, le menu de l’an dernier était plutôt placé sous le signe du végétal (toujours un défi pour une carnivore comme moi) mais je reconnais tout même avoir été charmée. Surtout par le dessert, avouons-le, spectaculaire, (j’en ai encore les papilles qui frémissent) et dont je me souviens avec encore beaucoup d’émotion : un Paris-Brest en cage de sucre !

Thierry Schwartz le RestaurantThierry Schwartz le RestaurantThierry Schwartz le RestaurantThierry Schwartz le RestaurantThierry Schwartz le RestaurantThierry Schwartz le Restaurant (anciennement Le Bistro des Saveurs)
35 Rue de Sélestat
67210 Obernai
Tel 03 88 49 90 41
Site web : https://www.thierry-schwartz.fr/

tous au restaurant

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L’Alsace à Table

L’Alsace à Table à Strasbourg

Alsace à TableL’Alsace à Table, le restaurant devant lequel, lorsque vous vivez ou vous vous baladez à Strasbourg, vous passez des centaines de fois – et dans mon cas – sans jamais vous arrêter. Une adresse qui figure dans la plupart des guides, dont vous avez forcement entendu parler…et dont vous n’avez jamais poussé la porte. Pourquoi? Quelques aprioris. Un peu collet monté? pas très contemporain?

Vendredi 13 – sans la scoumoune – fut l’occasion de tester ce restaurant et par la même occasion, d’inaugurer la carte Restopolitan.

Repérage des lieux

Un nom évocateur, qui laisse présager des spécialités locales. A la carte on trouve bien de la choucroute mais la particularité de la maison, ce sont également les plats iodés. Un étalage de fruits de mer en vitrine annonce la couleur. A l’intérieur, un vivier où batifolent truites et homards plante le décor.

Imprimés végétaux en verre dépoli sur la devanture. Sur les murs, reproductions de Mucha, illustrations dans le style Toulouse-Lautrec, coupole en vitrail, mobilier aux teintes acajou, l’ambiance est Art Nouveau.

Verdict :  d’avis commun, la petite mise en bouche était plutôt sèche. Le suite du repas fut à la hauteur de la réputation: bonne! 

Alsace à TableEn entrée : salade de lentilles aux petits lardons, œuf mollet. Les plats : Tournedos de saumon poêlé et fondue de poireaux pour ma complice. Magret de canard rôti (viande forever) purée de carotte à l’orange pour moi. Le canard aurait pu être un peu plus rosé à mon goût, mais la viande était tendre.

Alsace à TableAlsace à TableUne pointe de déception pour le dessert : Tiramisu à l’ananas rôti et spéculoos. J’ai eu beau effectuer des fouilles archéologiques, je n’ai pas trouvé beaucoup de spéculoos. Un peu de trop de mascarpone à mon goût, le crémeux prend largement le dessus sur le fruit et le célèbre petit biscuit à la cannelle.

Alsace à TableL’accueil est sympathique et les quantités justement proportionnées. Avec le recul, je me dis que j’aurais pu m’offrir l’entrée sans risquer la lourdeur en fin de repas. Étant donné qu’il est difficile de savoir si vous avez affaire à un chef généreux ou pas, dans le doute, l’option Plat & Dessert paraissait la plus raisonnable.

Pas de « douloureuse » surprise…

Au final, grâce à la carte Restopolitan, c’est une addition poids plume pour un restaurant gastronomique: 14€ par tête. La carte n’empêche bien entendu pas de commander des suppléments. Un bon plan donc, pour découvrir de bonnes (ou de nouvelles) adresses.  Mon regret: très peu de restaurants en Province. En Alsace, à peine 4 restaurants partenaires contre 219 sur Paris, un peu maigre…Reste à voir si la liste s’étoffera avec le temps. Si vous êtes des adeptes du resto, le Passeport Gourmand reste bien plus avantageux. Cela dit, je compte néanmoins bien profiter de ma carte dans les 3 autres restaurants, à savoir:

  • la Brasserie Flo
  • le Kammerzell
  • le Moulin de la Wantzenau

Lieu du cream : L’Alsace à Table
8, Rue des Francs-Bourgeois, 67000 Strasbourg
Téléphone : + 33 (0)3 88 32 50 62
Ouvert toute l’année de 11H45 à 14H30 et de 18H45 à 23H00.
Site web : www.alsace-a-table.fr

restaurant Strasbourg Alsace à Table

RESTOPOLITAN

restopolitanCarrie Bradshaw sirotait son Cosmopolitan, la foodista dégaine sa carte Restopolitan! Grâce à cette carte, c’est un repas offert à chaque réservation. Le repas est directement déduit de l’addition par le restaurateur. Entrée/Plat ou Plat/Dessert, vous choisissez la formule. La carte est activée lors de la première réservation, vous avez ensuite un mois pour l’utiliser de façon illimitée dans plus de 550 restaurants partenaires.

Les conditions :

  • illimitée 7j/7, déjeuner comme dîner.
  • un repas offert hors boissons
  • limitée dans le même restaurant à une réservation par mois
  • une seule carte acceptée par réservation (2 couverts minimum, si vous êtes plusieurs, d’autres devront la posséder, mieux vaut donc être en nombre pair).
  • réservation sur le site de Restopolitan 24h à l’avance ou par téléphone.
  • un des convives doit consommer au moins le même montant que le menu offert. Si vous prenez à la carte, les plats les moins chers seront déduits de l’addition.

Au bout d’un mois, il vous faudra ensuite recharger votre carte en choisissant l’une des 3 options proposées:

  • 6 mois = 11€
  • 3 mois = 13€
  • 1 mois = 19€

restopolitan

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